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  • Anaïs Hartmann

COMMENT ÊTRE BIEN ENTOURE ? – Solitude et/ou célibat difficiles [2/3]

Dernière mise à jour : 3 juin 2020



Être entouré est déjà une affaire. Mais l'être BIEN en est encore une autre ! Quelles étapes suivre pour avoir du monde autour de soi qu'on apprécie et avec qui la relation nous est bénéfique ?


Paradoxalement, nombreuses sont les personnes qui se sentent seules et veulent construire plus de lien. "Alors pourquoi, si nous sommes si nombreux sur cette planète à avoir cette même volonté, nous ne nous trouvons pas ?" peut-on légitimement se demander. Sans doute car on n’établit pas de lien avec n’importe qui, que cela coûte d’aller à la rencontre de l’autre, qu’il faut savoir comment s’y prendre et où rencontrer, et que cela commence par être avenant et donc bien avec soi-même. Ce sont ces points qui sont développés dans ce volet 2 de l'article.

Comment rencontrer des gens ?

Bien s'entourer, cela commence pour certain.e.s d'entre vous qui ont peu de connaissances et d'amis (pour le moment !), par le fait de rencontrer de nouvelles personnes.


Un état d’esprit propice avant tout

Les chercheurs ont constaté que le sentiment de solitude et d'isolement rendait les gens plus négatifs et plus critiques. Par ailleurs, croire que l’on finira seul sa vie ou qu'il n'y a pas de solution pour être moins seul, juste avoir cette croyance, suffit déjà à avoir un impact sur l’image qu’on a de soi et sur notre propension à aller vers les autres, ce qui ne fait que renforcer cette réalité, donc nous y fait croire plus fermement et nous enfonce encore dans notre solitude (un exemple d’étude sur le sujet : https://www.psychologie-sociale.com/index.php/fr/experiences/croyances/193-solitude-et-image-de-soi). A l’inverse, si vous vous dites qu’il n’y a aucune raison objective à ce que, en mettant votre bonne volonté et en suivant ce qui est indiqué dans cet article, vous continuiez à subir cette solitude, je vous parie que vous pourrez bientôt en constater les effets positifs.

 

Mes pensées inutiles


Un petit exercice qui peut vous aider : faites une liste de ce que vous croyez de négatif à propos de vous-mêmes, de votre futur, et à propos de la vie en général. Une fois ceci fait, décidez d’accepter de penser cela. C’est un état de fait, pourquoi lutter ? Bon, d’accord, vous avez ces pensées. Mais est-ce qu’elles vous sont utiles dans votre quotidien ? Vous concentrer dessus vous aide-t-il à voir ce qui est positif et à aller de l'avant ? Prenez conscience que vous pouvez tout à faire avoir ces pensées, tolérer leur présence, mais ne pas vous focaliser dessus car elles restent de simples pensées, qui ne vous empêchent pas d’expérimenter le contraire et d’agir comme si vous ne les croyiez pas. En plus, je suis sûre qu’en cherchant, vous pourriez trouver des exemples qui contredisent ces pensées. Ne pas croire toutes ses pensées, tout un concept, non ? C’est un des aspects que nous travaillons en Méthode d’Acceptation et d’Engagement (ACT).

 

Pour sortir de cette bulle de pensées négatives et s'ouvrir, l’Abbé Pierre avait remarqué l'efficacité du fait de prendre soin des autres. C'est pour valoriser cette dynamique qu'il a créé le réseau Emmaüs, qui aide des personnes depuis maintenant plus de 70 ans. Ainsi, pour se "déplier" (si on pense à l'image du repli sur soi), cherchez à vous sentir utile car cela renforce la bonne estime de soi et change la dynamique relationnelle. Au lieu de vous demander : « pourquoi je ne reçois rien de personne ? », pourquoi ne pas inverser la question et vous demander comment aider et soutenir les autres ? C'est la meilleure manière de sortir de l'isolement affectif et de renouer avec le sentiment d'appartenance à la communauté des hommes.


Sur quoi d'autre focaliser votre énergie ? Améliorez si besoin votre estime de vous-mêmes (cf. fin de cette page sur les obstacles à la vie sociale), prenez soin de vous et de vos besoins, faites-vous plaisir, concentrez-vous sur ce que vous aimez chez vous, voyez le "bright side of life" et cultivez cela, prenez conscience de votre chance en faisant régulièrement des mini-points en solo pour formuler de la gratitude envers vous-mêmes/les autres/la vie, etc.

Un écueil à éviter pour rester positif : ne vous polluez pas la tête d’informations négatives et encore moins de choses sur lesquelles vous n’avez pas de contrôle (ou alors un contrôle extrêmement limité). Je pense par exemple au JT. Quoi de plus déprimant que de voir défiler des nouvelles atroces, auxquelles on ne peut rien faire ? Choisissez vos canaux d’information, vos moments, et le type d’actualité que vous voulez suivre. L’actualité locale, vous vous en tenez informé.e ?

Enfin, les chercheurs ont constaté que le manque de sommeil ou un sommeil de mauvaise qualité avaient un effet « désocialisant ». Non seulement les mauvaises nuits impactent négativement l'humeur et les émotions, ce qui dissuade les autres de nouer des contacts avec vous, mais la fatigue et l'irascibilité qu'elles génèrent poussent au repli sur soi. Veillez donc à optimiser les conditions de votre sommeil.

Conclusion : faites vôtre l’adage « être bien seul pour pouvoir être bien à plusieurs ».

Si vous avez besoin d'être accompagné.e pour cela, n'hésitez pas à me contacter. La Méthode d’acceptation et d’engagement que je pratique apporte de nombreux outils pour (re)trouver une vie riche et épanouie.


Les lieux propices à la rencontre


Outre les façons de rencontrer des gens évoquées dans le volet [3/3] de cet article (sites de rencontres amoureuses, amis de la famille et des amis, à l’école ou au travail), voici quelques pistes à explorer si vous souhaitez faire de belles rencontres et/ou faire partie d’un groupe soudé.

Par exemple, en rejoignant une association poursuivant un objectif, en fédérant autour d’une problématique locale (quel est le principal problème dans votre quartier ou dans votre entreprise ?), en pratiquant une activité que vous aimez avec d’autres qui l’aiment aussi (un jardin partagé ?), ou en pratiquant votre foi avec d’autres, ce sont des moyens faciles de se sentir « inclus dans le monde ».

Une volonté d’entraide peut vous aiguiller vers les réseaux de voisinage. Ce sont des plateformes privilégiées pour demander ou apporter un coup de main à des personnes qui vivent autour de chez vous. Besoin d’un coup de main pour faire garder vos enfants ou faire une manip sur l’ordinateur ? Vous pouvez prêter votre appareil à raclette, aider des personnes âgées du quartier ou échanger sur des astuces Zéro déchet ? Il existe par exemple Nextdoor, Smiile, Allovoisins, ou encore Mesvoisins.

Peut-être que, parfois, vous en aurez marre de faire des démarches pour chercher le lien social... regardez alors autour de vous les opportunités qui se présentent, ouvrez l'oeil. Une bonne fête des voisins, la fête de la musique, le carnaval, un bal des pompiers, un festival à taille humaine, un événement en plein air, ... les opportunités de rencontrer ne manquent pas si vous aimez vous mêler à la foule !

Et si vous aimez les groupes un peu plus restreints, les villes organisent souvent des événements dans les bibliothèques, les écoles, les salles communales. Pensez aussi aux vides-grenier qui sont des lieux conviviaux, aux cinémas indépendants et aux maisons des associations qui programment des événements, etc. Si vous regardez l'agenda dans le journal local, vous devriez trouver plein d'idées. Cherchez aussi les sites internet qui répertorient les événements dans votre coin (le bonbon, Facebook événements, Que faire à X-city).


Pour partager de belles émotions avec d'autres, vous amener à vivre de nouvelles expériences en compagnie de nouvelles personnes : c’est le genre de choses que proposent les sites OVS (On va sortir) et Meetup. Films, spectacles, lectures et autres domaines artistiques ont aussi pour vocation de provoquer des émotions. Alors pourquoi ne pas rejoindre ou initier un groupe de lecture, de cinéphiles, ou d’amateurs de musées ?


Vous pouvez également créer un groupe de personnes fédérées autour d’un problème ou d’un centre d’intérêt, qui deviendra inévitablement un petit groupe croissant d'amis engagés. Vous pouvez solliciter activement des participants potentiels à travers des bibliothèques, des groupes sociaux, des médias sociaux et différentes organisations. Cela vous permettra de sortir, de rencontrer et de parler à beaucoup de nouvelles personnes. Si vous ne trouvez pas d'intérêt au départ, explorez ce qui intrigue ou préoccupe les gens de votre région. Rien ne nous donne plus de valeur que d'identifier un problème dans nos communautés qui a besoin de notre énergie, de notre enthousiasme et de nos connaissances. Et rien ne nous attire plus d'amis et de sympathisants que notre détermination à réparer quelque chose dont les gens se plaignent. 


A noter aussi que certains sites de rencontres amicales vous permettent simplement de rencontrer du monde, comme celui-ci

Pour terminer, rappelez-vous comment vous avez fait la connaissance de vos amis actuels ou passés. Cela devrait vous donner des idées, même s’il est parfois nécessaire de transposer : si vous avez connu vos amis à l’école mais n'étudiez plus, cela peut être en pratiquant un sport, en allant à des conférences ou en apprenant une langue, lieux d’apprentissage en groupe.

Établir le contact


Le terme « inconnu » fait souvent peur, mais chacun de vos amis a d'abord été un inconnu !


Cet homme là-bas, qui tire la tronche et évite votre regard, vous avez envie d’aller lui parler ? Et cette fille qui ne rigole qu’à ses blagues en faisant mine de vous écouter? Quelques dispositions sont nécessaires pour attirer la sympathie. Pensez surtout au sourire. Parfois le premier contact ne se fait pas par la parole mais par le regard, un sourire, ou même un rire d'une situation cocasse qui se produit... Rien que ça, sourire, c'est déjà un pas énorme vers l'autre ! Les études scientifiques le montrent: cela revoie directement à l'autre une image positive ; vous avez l'air sympathique. Et si vous pensez que vous avez l'air débile en souriant, regardez vous dans le miroir. Alors ? Je ne vous dis pas d'avoir un sourire benêt, juste de lever les commissures des lèvres et ouvrir le regard. Iriez-vous vous parler ainsi ? :)



Donner envie d'établir le contact est naturel chez certaines personnes, une compétence à apprendre pour d'autres. Ce qui est certain, c'est que si vous avez peur ou êtes mal à l'aise, l'autre personne risque de le ressentir et de se sentir mal à l'aise à son tour (nous avons gardé notre 6ème sens animal sur ce point-là ;) ). Alors que si vous transpirez le naturel et l'évidence, le contact sera facile. Repensez à ces personnes charismatiques avec qui vous avez établi le contact sans même y penser. Ces personnes qui font des blagues, rient, racontent des histoires, parlent d'une façon chantante, ... Elles peuvent être inspirantes, sans pour autant qu'il s'agisse de les mimer ! Restez vous-mêmes, mais essayez d'afficher votre meilleur côté. Décroisez bras et jambes, relevez le regard, c'est partiii !


Posture ouverte, regard franc, sourire et joie de vivre sont les ingrédients indispensables pour rencontrer facilement.

Une autre question fréquente est "que dire pour établir le contact ?". Ce qui fonctionne bien, de la même façon que sur les sites de rencontre, c'est de parler d'elle à la personne qu'on a en face, ou alors de faire de l'humour, de dire un "fun fact", ou de faire un commentaire sur le présent "ici ça me rappelle...vous connaissez ?", et dans tous les cas, être positif.

Si vous avez la volonté d'améliorer votre façon de prendre contact avec les autres mais vous sentez pataud, vous pouvez aller voir un coach en séduction dont c'est la spécialité (nom un peu racoleur mais qui a l'avantage d'être parlant), comme par exemple ma collègue et amie Florence Rousseau https://www.facebook.com/florence.rousseau.71465

Comment approfondir les liens ?


Je ne compte pas vous faire un cours sur comment se faire des amis, Dale Carnegie le fait très bien dans son livre de référence qui porte bien son nom « Comment se faire des amis » (en livre audio ici : https://www.youtube.com/watch?v=0j2PPMlAkws), mais voici quelques éléments pour créer un lien de qualité :


  • Un lien de connaissance : être en lien, c’est d’abord se connaître mutuellement. Cela peut paraître anodin, mais s’intéresser à l’autre, l’inviter à parler de lui, de ce qu’il fait de son quotidien « quoi de neuf ? », de ses aspirations « de quoi tu rêves ? », de ses opinions « qu’est-ce que tu penses de ce sujet ? », de ses réactions « qu’est-ce qui t’énerve, toi ? », à ses soucis mais aussi à ses joies, etc. c’est apprendre à connaître l’autre. Le connaître pour approfondir votre lien.

  • Un lien de reconnaissance : créer un lien, c’est reconnaître l’autre comme une personne digne d’intérêt. Et si vous le lui montrez, c’est encore mieux ! Car qui n’aime pas être valorisé sincèrement par ses amis ?

  • Un lien de parole : L’être humain aime être écouté, donc écouter l’autre semble être une bonne idée, de même que lui montrer qu’on a bien compris ce qu’il dit en reformulant ses paroles « donc tu penses que… ? », car même si de votre côté vous savez que la conversation vous intéresse, votre interlocuteur peut en douter.

  • Un lien de confiance : comment être proche d’une personne à laquelle on ne fait pas confiance, qui ne vous vient jamais en aide lorsque vous le lui demandez, qui vous dénigre en public ou qui vous fait faux bond ?

  • Un lien de bienveillance : cela va avec la confiance, mais il semble évident qu’on escompte d’un ami qu’il ne cherche pas à nous nuire, mais au contraire à nous aider à nous élever et à être une meilleure version de nous-mêmes.

  • Un lien de vécu : un lien se crée aussi par des expériences partagées ! Souvenez-vous de vos vieux amis : quels souvenirs impérissables gardez-vous aujourd'hui qui vous aient rapprochés ?

  • Un lien d’entraide : donner aujourd'hui c'est recevoir demain, quand j'en aurai besoin.

Comme on peut le constater, créer un lien, ce n’est pas de tout repos, alors autant bien choisir avec qui on le fait ! Sachant qu’après, en plus, cela s’entretient... !



Avec qui établir des relations ?

"- Choisissez des gens qui vous plaisent !

- Merci Miss obvious." Bon OK, vous vous doutez que c’est mieux d’établir des relations avec des personnes avec qui on s’entend bien. Mais qui sont ces personnes qui vous plaisent, et pourquoi ? Je vous invite à réfléchir au genre de personne avec lequel vous avez envie de parler et d’être en lien. Prenez un petit temps pour dégager les caractéristiques qui vous ont plu chez les gens que vous avez aimé fréquenter par le passé, et aussi le genre de personnalité qui vous attire particulièrement aujourd'hui. Généralement, cela aura quelque chose à voir avec vos valeurs (ex : des aventuriers sur vous avez une valeur de courage ou de découverte), mais aussi le respect, l'honnêteté, la disponibilité, la fiabilité, le soutien, ...

Et puis il y a ces bons moments...qu'est-ce qui fait l'alchimie de vos beaux souvenirs ?


En ce qui concerne les personnes avec qui vous êtes déjà en lien, la question peut se poser de savoir avec qui vous souhaitez ou non poursuivre la relation. D’ailleurs, réfléchissez au fait qu’être entouré de mauvaises relations peut amener à se sentir seul.e. Est-ce votre cas ? Si c'est ce que vous ressentez, il peut être utile de voir pour chaque personne :

  • Si la nature de la relation peut être améliorée (se voir plus souvent, dans de meilleures conditions, prendre des nouvelles, ...) et si c’est le cas, vous pouvez exprimer votre envie à l’autre. On verra bien s’il prend la main tendue ou non.

  • Si vous pouvez améliorer des choses dans votre comportement pour favoriser ce lien

  • Si le lien ferait mieux d’être coupé, et arrêter d’alimenter ce lien le cas échéant. Parfois, nos routes se séparent, c'est ainsi...



Vous vous dites peut-être que déjà vous vous sentez seul.e, mais si en plus vous coupez les liens qui existent, cela ne va rien arranger, au contraire. Eh bien effectivement, il s’agit alors d’initier un double mouvement, les relations terminées laissant de la place pour d'autres, et donc de chercher en parallèle à tisser de nouveaux liens. Ce qui est sûr, c’est que si nous pouvons donner de l’amour à tout le monde, notre temps est limité et nous ne pouvons être ami avec la Terre entière. Mieux vaut alors choisir ceux qui valent le coup !


Trouver les obstacles à votre vie sociale


Certains obstacles psychologiques peuvent entraver votre aptitude à la rencontre ou à créer des liens. En voici les plus communs.

-> dépendance affective

Vous connaissez la différence entre l’amour et la dépendance ? La dépendance, c’est lorsqu’on a BESOIN de l’autre. Qu’on ne peut pas se passer de l'autre et qu'on a des attentes vis-à-vis de lui. A contrario, l’amour n’est pas dans l’attente de quoi que ce soit de la part de l’autre, si ce n’est l’établissement d’une relation consentie dont les deux personnes sont (plus ou moins tacitement) d’accord sur les modalités. Lorsqu'on est dépendant, on peut faire fuir les autres qui voient en nous quelqu'un d'envahissant.

-> volonté d'indépendance

A l'autre extrême, vous chérissez l'autonomie et l'indépendance, vous pensez qu'on ne peut compter que sur soi-même. Cela ne vous incite pas à aller vers les autres. Ni dépendance ni indépendance, le juste milieu est dans l'interdépendance, lorsque chacun interagit avec l'autre dans la réciprocité.


-> déprime, ou dépression

Comme on a tendance à rechercher des personnes qui nous tirent vers le haut, nous remontent le moral, il est possible que votre pessimisme continuel ou votre mal-être dépriment également les autres personnes. Il se peut aussi que la dépression vous conduisent à ne pas chercher la compagnie, pour ne pas nuire. Dans ce cas, remédier à cet état psychologique est une priorité.

-> timidité, anxiété ou phobie sociale

En gros, rencontrer de nouvelles personnes génère chez vous une peur plus ou moins intense, qui fait que vous évitez ce genre de situation. Et pourtant, vous pouvez peut-être penser à des situations où vous intéragissez avec des inconnus sans ressentir d'inconfort ?

-> mauvaises rencontres

Vous tombez très souvent sur des personnalités toxiques. Cela peut notamment arriver dans certains milieux, quand vous avez été habitué à être entouré de personnes toxiques, que vous êtes dépendant affectif ou lorsque vous avez une mauvaise estime de vous-mêmes.

-> difficultés de communication

Vous avez du mal à vous faire comprendre, ou êtes maladroit dans votre communication, si bien que vous êtes toujours en excès de prudence dans vos échanges et avez du mal à être vous-mêmes. Autre option : on dit de vous que vous avez un sale caractère, que vous êtes trop cash, ...

-> "je ne suis pas intéressant"

Vous vous dites que personne ne sera intéressé par vous rencontrer. Pensez-vous vraiment qu'une personne ne puisse intéresser personne d'autre sur cette Terre ? Il est possible qu'on s'ennuie aux côtés de quelqu'un, mais il y a fort à parier que ce quelqu'un est alors convaincu de ne pas être digne d'intérêt et ne révèle donc pas qui il est vraiment, ne parle pas de lui, et sera par conséquent ennuyeux.

En fait... tout cela revient généralement à un souci de mauvaise estime de toi ou d'une confiance en soi limitée.


Identifiez les freins qui vous empêchent d'être bien avec les autres, et penchez-vous sur la question de comment les lever. N'hésitez pas à faire appel à un professionnel (un coach, thérapeute ou psychologue) si vous sentez le besoin d'être accompagné.e. Un regard d'expert est souvent d'une grande aide.





C’est le moment d’éteindre votre écran, de prendre un crayon et de parfaire votre plan d'actions ! Je vous souhaite beaucoup de succès dans votre entreprise, pour que la solitude soit bientôt pour vous un mot du passé. 

 

Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez consulter les deux autres parties de cet article, qui concernent le fait de surmonter la solitude [1/3] et de trouver l'amour [3/3].

Et si vous avez besoin d'un accompagnement individuel, vous pouvez me contacter à anais.hart@gmail.com ou sur mon site internet www.anaishartmann.fr

Anaïs Hartmann

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